Allô taxi paris..., un atterrissage pourrait s'en suivre !!!

Les voitures dans un avenir proche pourraient devenir volantes, plus particulièrement le taxi parisien. Dans la jungle d'un trafic de plus en plus dense, cette technologie pourrait être une solution radicale à ce problème, et peut-être même réduire le nombre des accidents de la route. Ce concept supporter par les grandes firmes de fabrication de voiture et surtout par TESLA, qui envisage de produire pas moins d'un million de voitures autonomes d'ici 2024.

La Chine envisage de lancer des taxis volants à l’horizon 2025, qu'en est il pour les taxis parisien ?

Le gouvernement chinois a fixé un calendrier ambitieux pour permettre aux véhicules volants de transporter des passagers sur de courtes distances d'ici 2025.

Une consultation publique lancée fin août par l'Administration de l'aviation civile de Chine (CAAC) prévoit d’autoriser les taxis à voler dans les rues sur de courtes distances d'ici 2025, sur des distances moyennes d'ici 2030 et sur de longues distances d'ici 2035. Ce calendrier entend répondre à celui des États-Unis, où les fabricants de véhicules volants et les compagnies aériennes ont prévu de lancer leurs services de covoiturage entièrement électriques en 2024.

Allô taxi parisien volant, pourrait être là pour les jeux olympiques

Les taxis volants bientôt au-dessus de nos têtes à paris, un rêve réalisable grâce à la RATP, ADP, et la région de Paris, qui ont confirmés d'avoir tout mis en place pour l'acquisition de cette technologie d'ici 2024 lors des jeux olympiques qui auront lieu à Paris. Cela devrait révolutionner le domaine de transport de personnes, et par translation l'ensemble de l'économie parisienne. En effet la réduction des temps de trajet entre les domiciles et les lieux de travail, aura un impact bénéfique sur la qualité de vie des travailleurs parisiens et qui augmentera inexorablement leurs productivité. Les prototypes qui sont actuellement en cours de développement se concentre sur les véhicules à décollage vertical.

Non loin de paris, à l'aéroport de Pontoise que les vols des taxis prendront départ, sous la coupelle de plusieurs grande société du secteur aérien, dont Airbus, Safran, et l'entreprise allemande Volocopter., ils veulent entre autre confirmer la déclaration ambitieuse du PDG du groupe ADP monsieur Augustin de Romanet : Nous allons faire naître ici le premier vertipol européen.

Courant mai dernier, l'Administration fédérale de l'aviation américaine (FAA) a accordé une certification de transporteur aérien à Job Aviation Inc, un fabricant californien d'avions eVTOL, qui prévoit de lancer son activité de taxi volant en 2024.

 

Mais de nombreux observateurs s’accordent pour dire que le lancement commercial des taxis volants en Chine sera plus facile à dire qu'à faire vu que de nombreux tests supplémentaires sont nécessaires pour garantir la sécurité.

 

D’ici 2025, la Chine entend normaliser les itinéraires de vol et continuer à améliorer ses systèmes de télécommunication et de surveillance. La CAAC a en ce sens déclaré que les taxis volants seraient autorisés à parcourir de courtes distances dans la ville d'ici 2025. Elle a précisé qu'au départ, les taxis volants décolleraient à des heures et à des endroits irréguliers, mais qu'ensuite, ils offriraient leurs services de manière régulière.

Un porte-parole de EHang a déclaré : "En publiant le document de consultation, la CAAC a montré une direction claire pour que la Chine développe son système de transport aérien sans pilote d'ici 2035. Cette annonce est une grande impulsion positive pour le secteur chinois des drones."

«La Chine ouvre progressivement sa zone de basse altitude aux drones, tandis que la technologie de conduite sans pilote devient également de plus en plus mature. Qu'il s'agisse de transporter des marchandises ou des personnes, la conduite sans pilote est sans aucun doute un élément clé de notre développement futur», a déclaré Hu Huazhi, fondateur et directeur général d'EHang, une société chinoise qui développe des drones lors d'un forum le 25 août.

Autre reproche majeur adressé, le contrôle du trafic aérien était une question très sensible en Chine et était géré par l'armée chinoise. Selon lui, bien que certaines villes chinoises aient déjà ouvert des zones de basse altitude pour les drones, les régulateurs de l'aviation civile et le département de la sécurité publique n'assoupliront probablement pas la réglementation à court terme, en particulier dans les grandes villes.

 

l'équipe TGP

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